狭长地块中庭花园-la maison sur un terrain étroit
1. La maison avec trois jardins
Située dans le quartier Notre-Dame de grâce à Montréal,cette résidence s'insère sur un lot très étroit de 7.9m de largeur sur 51.3m de profondeur.les propriétaires désirent une petite résidence pouvant répondre aux besoins d'une jeune famille dans un milieu urbain par des espaces flexibles en relation avec le paysage extérieur,tout en conservant leur intimité. Pour répondre au contexte urbain,par l'expression et la finesse de ses concepts et par ses détails d'assemblage.cette résidence unifamiliale est une installation in situ qui révèle les particularités du paysage naturel et construit,tout en exprimant un langage contemporain.
En réponse au milieu environnant,une volumétrie simple occupe le terrain en profondeur et est structuré par l'alternance de trois jardins qui réinventent l'espace domestique et marquent la transition de l' espace public au domaine privé.
La cour avant, constituant le premier jardin,s'ouvre sur la voie publique verdoyant.
le deuxième jardin,une cour intérieure,se découvre par un sentier ascendant qui passe près de l'entrée principale. La configuration de bâti en forme [L] délimite cet espace extérieur et permet la collecte de l' eau de pluie dans un bassin qui draine l'eau au sol. L'intérieur bénéficie d'une grande luminosité amenée par une généreuse fenestration disposée de façon stratégique afin de conserver l'intimité des occupants. Les espaces intérieurs sont reliés par une aire de circulation qui longe cette intérieure et mène au troisième jardin,vestige d'un verger de pruniers en cour arrière.
2. La maison Gaspé
Implantée sur un terrain étroit d'environ 6 mètres de largeur et très profond,la maison se devait,dans un premier temps,de gérer une problématique d'insertion en lien avec les bâtiments qui lui sont juxtaposé.pour ce faire,la résistance répond à son environnement de manière traditionnelle à l'aide d'un gabarit similaire à celui des habitations voisins et en présentant tout comme elles un parement de briques rouges ainsi qu'un toit plat.
Implantée sur un terrain étroit d'environ 6 mètres de largeur et très profond,la maison se devait,dans un premier temps,de gérer une problématique d'insertion en lien avec les bâtiments qui lui sont juxtaposé.pour ce faire,la résistance répond à son environnement de manière traditionnelle à l'aide d'un gabarit similaire à celui des habitations voisins et en présentant tout comme elles un parement de briques rouges ainsi qu'un toit plat.
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L'aménagement d'une cour intérieure,quant à lui,a permis aux concepteurs de résoudre les difficultés associés au manque de lumière naturelle au centre de la résidence. Cette fois,la maison se démarque par l'emploi inusité de portes de garage donnant accès à la cour.ce traitement des ouvertures plutôt contemporain,en plus d'accentuer la fluidité des différents espaces,assure un apport maximal de lumière naturelle.de cette façon, l'étroitesse du lot, à première vue perçue comme une limitation contraignante,est transformée, grâce à la continuité des espaces et à l' absence de frontière entre l'intérieur et l'extérieur, en une qualité spatiale. Nul doute que ce prototype novateur d'habitation constitue l'alternative à la maison unifamiliale typique des quartiers urbains denses.
---Anne Vallières, architecte, et Giampiero Moretti, Québec .
3.la maison bosses-gastéropode
Que ce soit par des passerelles et terrasses communes,des avancées et retraités sur cour ou encore par le regard que ces maisons portent l'une sur l'autre, l'habitation d'origine et son alter ego entretiennent une étroite relation.le dialogue s'effectue aussi par le revêtement de bois côté cour et un subit traitement au sol.bien que de superficie identique et souvent considérées comme "jumelles",les deux maisons se font toutefois face dans toutes leurs différences. Tandis que l'habitation arrière est ancrée au sol,son ossature de poutrelles permettant de grandes portées horizontales, celle à l'avant s'élève à la verticale sur cinq niveaux, posée sur le studio avec une structure de gros bois d'œuvre. Elles vieillissent comme des jumelles dizygotes, pieds dans le potager ou nez dans les nuages.
4. Résidence familiale en boîte
L'étroitesse du site a conduit à l'utilisation d'un système constructif à portée unique entre les mur extérieurs latéraux. Dans cet espace,un effort à été fait pour réduire les superficies au minimum prévu par le code national du bâtiment afin de respecter un budget modeste. Entre autres,trois petits cellules logées à l'étage font office de chambre d'enfants,ce qui permet de diminuer la profondeur de la maison. Au rez-de-chaussée,le jeu des niveaux de plancher,la continuité du plafond et la position des ouvertures servent une recherche spatiale visant à optimiser le volume de l'espace commun. Le plan très rigoureux allie exigence fonctionnelle et convivialité des lieux.
Une disposition particulière des fenêtres latérales a été privilégiée pour palier la proximité des constructions cousines. Pour assurer l'intimité des occupants,un bandeau de fenêtres en haut de paroi,sans retombée de plafond, a été favorisé. De plus,ces ouvertures ver le ciel permettant d'accentuer la perception de l'espace et de mieux diffuser la lumière dans les pièces. À l'arrière, grâce à une large baie vitrée,la pièce commune se prolonge vers le jardin.
5.résidence 3.6m*21m
Implantée sur une parcelle aux dimensions atypique de 3.6m sur 21m,la résidence constitue un bel exemple de rénovation en milieu urbain.
C' est dans le plus grand respecte de l'image du quartier que bon nombre des interventions sur façades ont été menées. Ainsi,s'inspirant directement de la géométrie de l'ancienne vitrine, une fenestration aux lignes épurées donne sur le hall et le bureau du rez-de-chaussée à l'avant. Quant à la baie vitrée en saillie présente à l'étage, élément architecturale et historique important,il s'agit d'une restauration méticuleuse de l'originale. L'élévation arrière,consequence d'un agrandissement,contraste avec la façade avant en raison de la sélection et du traitement contemporain de ses parements extérieurs. L'emploi d'un fini métallique se veut en fait une réinterprétation des toitures en tôle traditionnelles dans le quartier.
À l' intérieur,une rationalisation des salles de bain et d'eau,jumelée à une superposition des circulation verticales,a permis de maximiser l'espace accordé aux pièces de vie. Cette organisation en plan , couplée à une variation perceptible des hauteurs de plafond, permet la création de pièces communes polyvalentes tout en maximisant la pénétration de la lumière naturelle. En ce qui concerne le choix des finis,les architectes ont pris parti de restaurer et de conserver les éléments les plus intéressants du bâtiment existant.





















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